Les nouveaux locaux sont désormais situés au quartier Bastos à Yaoundé, Cameroun.
À partir du 1er septembre 2020, les bureaux régionaux pour l’Afrique centrale du Centre de recherche forestière internationale (CIFOR) et du Centre international pour la recherche en agroforesterie (ICRAF) cohabitent désormais dans les mêmes locaux au quartier Bastos à Yaoundé, Cameroun.
Une mesure qui fait suite à la fusion des deux institutions, acté depuis le 1er janvier 2019 au niveau global. Cette action vient apporter des solutions inclusives et fondées sur la science aux défis environnementaux et sociaux complexes qui découlent sur les questions dont traitent les deux organisations, notamment le changement climatique, la dégradation des terres, les changements démographiques et l’insécurité alimentaire.
A ce sujet, Richard Eba’a Atyi, Coordonnateur régional du CIFOR pour l’Afrique centrale, a déclaré : « En Afrique centrale, la fusion CIFOR-ICRAF nous permettra non seulement de concentrer encore plus nos énergies sur la recherche en foresterie et agroforesterie, mais surtout de produire des résultats plus pertinents ».
L’accroissement de l’efficacité, et l’offre d’un meilleur rapport qualité-investissement aux différentes parties prenantes de nos actions seront au rendez-vous. « Ce pas en avant dans le processus de fusion CIFOR-ICRAF renforcera à coup sûr le plaidoyer qui est fait auprès des gouvernements, et produira davantage un impact dans les politiques publiques nationales et régionales » a laissé entendre Ann Degrande, Représentante de l’ICRAF en Afrique centrale. .
Depuis plus d’un quart de siècle le CIFOR et l’ICRAF travaillent ensemble dans le cadre du programme de recherche du CGIAR sur les forêts, les arbres et l’agroforesterie (FTA), le plus grand programme de recherche au monde sur les forêts et l’agroforesterie dans le développement durable, la sécurité alimentaire et le changement climatique.