Au cours des 40 dernières années, plusieurs pays ont adopté différents modèles de foresterie participative (FP) pour améliorer les conditions des forêts et les moyens de subsistance des communautés locales et des petits exploitants qui les gèrent. Ces modèles ont été mis en œuvre à travers différentes formes de collaborations. Malgré certains échecs et critiques, la FP reste un véhicule potentiel pour protéger et améliorer les ressources naturelles et constituer un capital social, institutionnel, humain et financier.